Votre selle passe-t-elle les 7 tests ?
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| L’angle décrit par la partie avant de l’arçon doit correspondre à l’angle de la région du trapèze sur laquelle l’avant de la selle repose.
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| On doit pouvoir glisser la main sans sentir de différence de pression des pointes d’arçon.
Ce test, comme tous les autres décrits dans l’essai statique, doit être effectué sans cavalier et sans sanglage. |
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| La gouttière doit être suffisamment large pour ne pas pincer les côtés de la colonne vertébrale (des apophyses).
Si elle est trop étroite, les panneaux causeront douleur et inconfort. Par contre, si la gouttière est trop large, les panneaux perdront en superficie et la zone sur laquelle repose le cavalier s’en verra réduite.
En effet, plus il y a de poids/cm², plus il y a de probabilité de blesser le cheval. |
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| C’est le test que tout le monde connaît mais beaucoup de personnes se trompent : « Combien de doigts doit-on pouvoir passer entre le garrot et le pommeau ? ».
Beaucoup pensent qu’il faut pouvoir passer 3 doigts : c’est incorrect ! La réponse est qu’il faut qu’il y ait suffisamment de dégagement. De plus, de quels doigts parle-t-on ? de ceux d’un homme ou de ceux d’une fillette ? |
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| La selle doit reposer en équilibre.
cela signifie généralement que le troussequin doit être un peu plus haut que le pommeau. |
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| Les panneaux doivent correspondre au dos du cheval et la pression doit être régulière tout le long des panneaux.
Notons qu’une selle avec un rembourrage classique va s’adapter aux contours du dos du cheval, alors qu’une selle ‘close contact’ doit être le miroir du dos du cheval. |
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| La selle ne doit pas reposer au-delà de la 18e côte. |